Auteur/autrice : Corinne Arpin

RÉSUMÉ DE L’ANNÉE 2023

RÉSUMÉ DE L’ANNÉE 2023

Découvrez le résumé de notre année 2023 à travers ses nombreux projets, ses multiples rencontres et ses fortes collaborations. L’entreprise Almatere est heureuse de continuer cette aventure aux côtés de ses partenaires car c’est ensemble que nous pourrons accélérer les projets bas carbone, biosourcés et d’économie circulaire. Des sujets structurants pour les années à venir !

Ensemble, poursuivons notre engagement pour une construction durable.

Éviter de construire en TERRE inconnue !

Éviter de construire en TERRE inconnue !

Auparavant, un article concernant les différentes méthodes d’utilisation de la terre dans les projets de construction vous a été partagé sur notre site internet. Désormais, nous vous détaillons l’un des matériaux les plus avantageux dans vos projets : la terre crue ! Depuis plus de 10 000 ans, ce matériau n’a cessé d’être utilisé. Alors, découvrez sans plus attendre toutes les informations sur la terre crue ⬇️

 

PRÉSENTATION DE LA TERRE CRUE :

 

Une image contenant brique, bâtiment, pierre, matériau de construction Description générée automatiquementDescription  La terre crue est constituée d’une pâte ou d’une boue C’est un matériau minéral granulaire, composé de matière solide et liquide. Les matières solides sont principalement de l’argile, des graviers et du sable. Côté liquide, vous aurez de l’eau, des corps organiques et aussi des minéraux directement dissous dans cette eau. Enfin pour la matière gazeuse, nous retrouverons de l’azote, de l’oxygène, du gaz carbonique et d’autres gaz (hydrogène, méthane, etc). Toutes les terres ne peuvent pas être utilisée pour faire de la terre crue ! Il est nécessaire que la terre contienne un minimum d’argile pour pouvoir l’utiliser comme telle. Source image : Istockpohoto.com

Quelques chiffres clés  Voici certains chiffres à ne pas manquer :

 

Une image contenant ciel, nuage, plein air, bâtiment Description générée automatiquement1907 : L’année de la dernière construction en date de la Grande Mosquée de Djenné, située au Mali. Il s’agit du plus grand édifice au monde en terre crue (« banco »). Cela fait plus de 115 ans que ce monument existe avec une architecture toujours aussi splendide et surtout éco-responsable ! Cette utilisation de ce matériau lui a notamment permis d’être inscrit à la liste du patrimonial mondial de l’UNESCO en 1988.

800 : ce ne sont pas moins de 800 édifices pisés qui sont recensés dans la Métropole de Lyon.

8 : C’est le nombre de systèmes constructifs intégrant de la terre crue actuellement utilisés en France. Source image : Tripadvisor

ATTENTION ! Pour une parfaite utilisation de ce matériau, nous vous invitons à bien prendre en considération les freins suivants :

 

Résistance aux intempéries : C’est l’un de ses problèmes majeurs. La terre crue est sensible à l’eau. Sans une protection appropriée, elle peut se détériorer ou se déformer en présence excessive d’eau. Pour éviter ce risque, il faut mettre en place des mesures de protection adaptées comme des toitures surplombantes, des enduits ou encore des fondationspermettant d’éviter les remontés capillaires. Cela évitera les potentiels dommages causés par les intempéries !

 

Stabilité structurelleLa sécurité d’usage et de pérennité dans le temps est importante lors de vos projets en terre crue. Celle-ci peut toutefois être moins stable. Pour la stabiliser de la meilleure des façons possibles, il vous faut utiliser des techniques de construction appropriées telles que le pisé, le torchis, les BTC (briques de terre compressées), etc. Pour les découvrir, nous vous invitons à consulter le premier article qui vous a été partagé !

Exemples pour les BTC

  • BTC Stabilisées : Le matériau avec chaux (entre 3 et 6 %) peut être utilisé pour une façade ou un mur porteur.
  • BTC Non Stabilisées : Le matériau sans chaux doit être utilisé pour une façade ou un mur non porteur.

Réglementations : Pour la sécurité des usagers et des questions d’assurances, les systèmes constructifs doivent être évalués techniquement pour valider leur pérennité et leur durabilité dans le temps.

  • Si le système constructif est traditionnel, alors les matériaux et leur mise en œuvre doivent suivre le DTU (Document Technique Unifié) approprié.
  • Si le système constructif est considéré comme non traditionnel, plusieurs évaluations délivrées par la CCFAT/CSTB peuvent être pris en considération : AT (Attestations Techniques) / DTA (Dossier Technique Amiante) / ATEx(Appréciation Technique d’Expérimentation).
  • Les réglementations acoustiques et de sécurité incendie doivent également être prises en compte et dépendront des types de projets et de bâtiments.

Normes de construction : Dans certaines régions, les normes de construction du bâtiment peuvent ne pas être adaptées à l’utilisation de la terre crue. Il vous est important de vous familiariser avec les codes du bâtiment locaux et de consulter les autorités compétentes de votre région pour s’assurer que les techniques de construction en terre crue sont acceptées et conformes aux réglementations en vigueur.

Durabilité à long terme : Même s’il s’agit d’un matériau durable, il a besoin d’un entretien régulier pour maintenir sa qualité et sa durabilité ! Les revêtements de protection extérieurs et les enduits intérieurs doivent être entretenus périodiquement pour éviter la dégradation due aux intempéries, aux rayons UV et à d’autres facteurs environnementaux.

Durée de construction : La construction en terre crue peut prendre plus de temps que les autres méthodes de construction conventionnelles, car elle implique souvent des techniques de construction plus artisanales. La préparation et la mise en œuvre des murs en terre crue peuvent être un processus plus lent, nécessitant une attention minutieuse aux détails. Il est donc important de planifier en conséquence et de tenir compte du calendrier de construction lors de l’utilisation de la terre crue.

Main-d’oeuvre qualifiée : C’est le point le plus important à prendre en compte. La construction en terre crue nécessite une main d’oeuvre qualifiée et expérimentée pour garantir des résultats de qualité. Les techniques de construction en terre crue peuvent être spécifiques et nécessitent donc une formation appropriée pour être réalisées correctement. Il peut être judicieux et nécessaire de faire appel à des artisans spécialisés ou de suivre des formations spécifiques sur ces sujets pour maîtriser ces techniques.

En résumé, que devez-vous retenir ? 😉

 

Grâce à cet article, vous avez désormais toutes les informations principales sur la terre crue ! Comme vous avez pu le constater, elle représente plusieurs avantages mais de nombreux freins sont tout de même à prendre en compte. Pour ne commettre aucune erreur potentielle, tous ces freins sont indispensables à comprendre et à éviter. De plus, il est important que vous vous renseigniez bien sur les éléments suivants dans votre région : Coût Disponibilité des matériaux Main-d’œuvre… Selon votre région, ces éléments peuvent variés. 

Découvrez, par ailleurs, un exemple magnifique, dans notre ville de Lyon : un immeuble entièrement pisé au cœur d’Ydéal ! Source de la vidéo  : OGIC Immobilier – Youtube

👉 D’autres technologies et modes de fabrication se développent pour réintroduire les terres excavées dans des systèmes constructifs. Nous réaliserons un article sur ce sujet prochainement.

 

👋 Nous remercions tout particulièrement Jérôme Henry, expert du collectif Almatere, pour son expérience et son aide sur le sujet. Vous pouvez trouver sa fiche de présentation dans l’onglet « Nous sommes » de notre site ! Nous serions ravis de partager vos projets, vos réalisations dans notre région. Si vous avez la moindre question sur le sujet, n’hésitez pas à contacter le collectif Almatere !

Retour à la terre…

Retour à la terre…

La terre est un matériau ancestral, utilisé depuis de nombreux siècles. Depuis, de nombreuses méthodes et techniques ont été développées et Almatere vous en parle :

Découvrez ci-dessous les détails de chaque technique :

  • La Bauge : Technique rurale en disparition que l’on retrouve dans le Bâti vernaculaire en Normandie, en Bretagne et en Vendée. La terre utilisée est dite argilo-limoneuse : plus grasse et plus collante que la terre classique. Ce qui permet un assemblage de mottes de terres directement sur le mur, sans coffrage.
 
  • Le Pisé : Présente plus particulièrement en région Auvergne-Rhône-Alpes, cette fois la terre utilisée est une terre argilo-graveleuse, donc non végétale. Après un coffrage et le montage du mur, la terre est tassée en couches successives à l’aide d’outils pneumatiques. Pour cette technique, il est primordial d’avoir très peu d’eau dans la matière. Lors du décoffrage, l’eau s’évapore et on obtient en résultat final un mur séché.  
 
  • L’Adobe : Brique de terre crue, elle n’a pas eu besoin d’être cuite au four puisque la terre est séchée directement à l’air. Constituées de terres argileuses et de fibres végétales, les briques sont souvent moulées à la main puis séchées à température ambiante. Cette technique est notamment utilisée en région toulousaine. Leur industrialisation se développe actuellement ! 

 

  • Le Torchis : Appliquée sur une structure de pans de bois (dits les colombes) et de lattes de plus petites tailles, cette technique est un mélange de terre argileuse fine et de pailles. On recouvre ensuite le tout de chaux. Dans l’Est et dans le Nord de la France, on utilise principalement ce procédé.

 

  • La Terre Coulée : Il s’agit d’une technique nouvelle assez proche du BPE. Cette fois-ci, la terre est coulée dans un coffrage, en état visqueux, puis est « vibrée » afin de permettre de chasser l’air et ainsi densifier le matériau.  

 

  • Dalle en sol : Elles peuvent être coulées, étalées ou compactées, mais également utilisées via un système de remplissage en terre foisonnée ou en torchis lourd ou léger.  

 

  • Enduit en Terre Crue : Essentiellement utilisée pour les murs ! Le concept est simple : les enduits de terre se composent d’un enduit de corps (mélange de terre et de paille) appliqué sur le mur (à la main ou à la taloche) puis d’un enduit de finition réalisé avec une lisseuse.

POURQUOI LES ÉCOSYSTÈMES COLLABORATIFS VONT-ILS S'IMPOSER DANS NOTRE ÉCONOMIE ?

 

Matériau naturel et sain, il apparaît comme idéal en écoconstruction et en perma architecture. Son Bilan carbone est minimum car non seulement la ressource est, en principe, locale mais aucune cuisson n’est nécessaire. De plus, la terre crue est recyclable à 100 %. N’émettant aucune substance toxique, elle permet même d’absorber les COV dans l’air. Enfin, une construction en terre crue a intrinsèquement un bon niveau de résistance au feu.

 

Un savoir-faire encore trop rare : construire / rénover en terre crue ne s’invente pas ! Il faut savoir que la terre crue doit être à l’abri de l’eau liquide afin de conserver la cohésion souhaitée. De ce fait, les murs extérieurs en terre crue sont donc montés sur des soubassements de pierres ou tout simplement en briques, eux-mêmes entourés d’un drain (tuyau qui sert à faire couler l’eau des sols trop humides) ou d’un revêtement perméable et revêtu d’un enduit respirant ainsi qu’une toiture bien étudiée. Sa mise en œuvre implique plus de temps qu’une construction traditionnelle.

 

Une isolation uniquement complémentaire : Elle a la particularité d’être dense, poreuse et est dotée d’une bonne inertie thermique. Dans le bâtiment, elle contribue à une régulation de l’humidité. En cas de canicule potentielle, elle permet un lissage des températures intérieures. Elle est d’ailleurs quasi-indispensable dans la rénovation de bâtis anciens dans lesquels la compatibilité entre les matériaux isolants et les matériaux des murs est très importante.

 

Concernant l’isolation thermique, la terre crue ne suffira pas. Les techniques de ré-isolation de ce matériau doivent être minutieusement choisies afin de conserver toutes les caractéristiques et la cohésion des murs en terre voulue.

 

Coût final de construction encore élevé : même si le matériau est accessible à faible (voire très faible) coût, l’analyse de la matière 1ère, le transport et la mise en œuvre viennent peser sur le prix de vente.

 

Prochainement, un nouvel article vous sera partagé concernant les types de terre et leurs caractéristiques. Si vous souhaitez avoir des informations complémentaires, n’hésitez pas à contacter Almatere !

RÉSUMÉ DE L’ANNÉE 2022

RÉSUMÉ DE L’ANNÉE 2022

Depuis sa création, Almatere a porté de nombreux projets, accompagné de nombreuses entreprises, et a partagé ses connaissances et compétences à de nombreux profils différents. L’entreprise souhaite, par ailleurs, remercier de nouveau les nombreuses personnes (dirigeants, intervenants, professionnels…) qu’elle a pu côtoyer et accompagner.

Cette année 2022 vous est résumée sur le document ci-dessous :

Nouveaux modes de travail collaboratifs: un facteur clé d’innovation

Nouveaux modes de travail collaboratifs: un facteur clé d’innovation

Agilité, efficacité et plaisir de construire ensemble… découvrez les bénéfices du travail collaboratif & indépendant.

L’HISTOIRE DE L'ENTREPRISE COLLABORATIVE

«Le « travail collaboratif désigne la coopération entre les membres d’une équipe afin d’atteindre un but commun ».

De nos jours, la notion de collaboration prouve ses performances face à des systèmes hiérarchisés et figés.

Selon David D. Chrislip: « La collaboration se situe au-delà de la communication, de la coopération et de la coordination. Comme ses racines latines (com et laborare) l’indiquent, elle signifie « Travailler ensemble ». Trouver la relation mutuellement avantageuse entre deux ou plusieurs parties permet d’atteindre un but commun.

C’est un processus qui implique le partage de la vision, des responsabilités et de l’autorité. C’est donc plus que le simple partage des connaissances et de l’information mais également, un type de relation permettant à chaque partie d’atteindre ses propres buts via la coopération et coordination.

L’objet de la collaboration est de créer une vision partagée et des stratégies articulées pour faire émerger des intérêts communs dépassant les limites de chaque projet particulier » (Chrislip, 2002, pp. 41-42).

L’économie collaborative ne s’entend donc pas seulement par les échanges en circuits courts, souvent organisés par des plateformes digitales.

Les bénéfices de ce mode de travail peuvent également conduire vers une approche innovante de l’organisation. Elle permet de produire de la valeur ensemble pour un client tout en gardant son indépendance: la communauté de travail.

AVANTAGES ET BÉNÉFICES DU TRAVAIL COLLABORATIF

Nombreux sont les bienfaits d’une collaboration, en voici les principaux: 

  • Limiter les pertes de temps: C’est un avantage visible et valorisable. En effet, lorsque l’on parle de travail collaboratif on associe la plupart du temps ce terme à « outil collaboratif ». La centralisation des données sur une plateforme dédiée, permet de centraliser l’accessibilité et donc de démultiplier la productivité des équipes. À l’heure de l’ère d’internet et du numérique, de nombreuses possibilités pour mener à bien une coopération existent et permettent ainsi de: faciliter la communication et la collaboration, d’organiser la gestion de projet tout en augmentant la productivité, de stocker les données et de partager les fichiers, d’organiser des réunions à distance. 

⇒Voici une liste de 8 outils pratiques et simples pour faciliter le travail d’équipe. 

  • Mettre à profit l’intelligence et le savoir collectif pour un gain en productivité assuré: Chacun à ses connaissances, propres outils, qui sont une véritable proposition de valeur. Cette complémentarité crée une intelligence collective unifiée au service du client.
  • Une cohésion accrue pour une meilleure entente entre collaborateurs: Travailler avec un même objectif, à parts égales, dans un projet commun permet une harmonie basée sur la confiance entre les partenaires. 
  • Un management la plupart du temps participatif: Exit le management directif d’antan, l’innovation se veut aussi dans la mise en œuvre des moyens humains d’une entreprise pour atteindre ses objectifs.

QUELLES LIMITES À CE TYPE D'ORGANISATION?

  1. Besoin d’encadrement: travailler en collaboration n’est guère toujours évident, chaque personnalité étant unique des règles doivent régir concernant l’organisation, ainsi qu’un code moral et éthique. Le but? que tout le monde puisse collaborer en bonne intelligence et de manière collective.
  2. Tous les membres de l’organisation doivent s’investir à parts égales dans le fonctionnement de l’entreprise, être présents aux réunions, actifs…
  3. Chacun doit s’engager à créer de la valeur commune (publications, outils et méthodes de travail, travail collaboratif), tout en respectant des règles de répartition de cette même valeur (contrat de sous traitance, partenariat…)
  4. Chacun doit s’inscrire dans une même vision culturelle, organisationnelle, économique et partager une ambition commune.

POURQUOI LES ÉCOSYSTÈMES COLLABORATIFS VONT-ILS S'IMPOSER DANS NOTRE ÉCONOMIE?

Ce mode de travail en indépendance devient de plus en plus normalisé. Avec l’évolution des mentalités, des façons de travailler nouvelles et ce besoin d’indépendance et non d’appartenance, le monde du travail est en train de muter. Nous arrivons à l’orée de changements profonds comme Adam Smith l’avait auparavant souligné pour la division du travail.

QUELLES EN SONT LES RAISONS?

Révolution numérique, explosion d’internet et aspiration à la liberté sont les principaux facteurs du rebond des travailleurs indépendants. La pandémie mondiale de la Covid-19 n’aura fait que d’accélérer le processus d’émancipation. Les Hommes aspirent aujourd’hui à des modes organisationnels plus souple, afin d’obtenir une meilleure flexibilité de vie et la liberté de gérer leur équilibre vie pro/vie perso. 

Toutes ces raisons expliquent l’émergence de ces entreprises dites “collaboratives” où chacun trouve sa place, s’ouvre à l’autre, apprend sans se sentir “enfermé” dans sa mission.

ALMATERE, UN EXEMPLE D'ENTREPRISE COLLABORATIVE:

Qu’est-ce qu’almatere

Accélérateur d’innovation et de changement, sa singularité s’exprime par son collectif d’experts complémentaires. Ils sont tous issu de l’entreprise, agissant en synergie pour accompagner les acteurs de la construction vers une économie durable et éco-responsable. Ils souhaitent faciliter le changement via le bas carbone, le biosourcé et l’économie circulaire.

Cette équipe expérimentée et agile, aguerrie aux enjeux internes et externes, forme un ensemble de compétences qui fait sens au service de l’environnement. Leur but est commun: bâtir l’habitat de demain de manière plus durable et résiliente, face aux enjeux climatiques en utilisant des solutions innovantes tant dans les produits/ process, que dans les réflexions. 

Qui sont-ils? Quel est leur mode de fonctionnement? 

Corinne ARPIN, CEO/ coordinatrice d’almatere est à la tête de cette société d’un genre nouveau. Grâce à ses nombreuses expériences dans le domaine du BTP, elle a su forger une société à son image: transverse et engagée. Experte de l’innovation, dotée d’une grande maîtrise des enjeux de la filière bâtiment, elle facilite le changement pour développer les approches bas carbone, biosourcés et circulaires. 

Les cinq autres experts ont eux aussi des rôles clés allant de la prescription technique, en passant par la performance commerciale, le marketing, le management par la valeur, la stratégie en développement durable ou encore le conseil administratif et financier. 

Ils forment tous une dynamique collective au service de la Société, qu’ils ont d’un commun d’accord décidé de nommer “Le collectif d’almatere”. 

Management du collectif, réunions projet, partage et échanges, leur mode d’organisation de travail est transversal et leur permet une flexibilité dans la prise de décision pour une réponse client unique et experte.

Thème : Overlay par Kaira.